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La géométrie de l'amour

The Geometry of Love nous entraîne vers une passionnante quête sur le symbolisme des églises chrétiennes à travers les siècles.

 

Le film accompagne Margaret Visser, auteure de l'essai Geometry of Love, à la Basilique Sant'Agnese fuori le mura à Rome. Elle y relève les significations cachées dans chaque aspect de sa conception, de l'autel à l'architecture de la basilique. Les observations de madame Visser nous éclairent sur la pensée chrétienne, la civilisation occidentale et notre propre renouveau spirituel.

 

Ce film a été acclamé comme étant "l'un des meilleurs documentaires canadiens de la saison" (Toronto Star, oct 2006) et "un modèle du genre" (Toronto Metro, oct 2006) Le film a reçu plusieurs nominations et prix.


(Ce film est disponible seulement en anglais)
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PRIX

Meilleur documentaire (Culture & Ethique)

Houston WorldFest 2007

Prix Platine : Meilleur Documentaire/Religion & Éthique

Médailles d'or : meilleur réalisateur (Paul Carvalho) et meilleure musique (Mike Shields)

NOMINATIONS

Meilleur documentaire/Arts & Culture

Prix de l'industrie cinématographique de l'Alberta
2007

Meilleur directeur de la photographie : Craig Wrobleski

Meilleure musique : Mike Shields
 
Meilleur son : Frank Russo​

Fondation Peabody

CHICAGO
Invitation à soumettre une copie du film à la collection d'archives de MBC, The Museum of Broadcast Communications

TÉMOIGNAGES

Pourquoi j'ai pris une option sur "La géométrie de l'amour" de Margaret Visser

La radio n'est pratiquement jamais allumée quand je travaille, et c'est donc par un heureux hasard que ce jour où  je l'ai allumée, je suis tombée sur cette interview de Margaret Visser portant sur le sujet de son nouveau livre "The Geometry of Love, Space, Time, Mystery and Meaning in an Ordinary Church" (La géométrie de l'amour, l'espace, le temps, le mystère et le sens dans une église ordinaire). 

L'idée d'un bâtiment reflétant le cheminement spirituel de l'homme a résonné, mais surtout le cœur de ce récit : l'histoire d'une jeune fille de 13 ans dont le sacrifice a changé le monde, a trouvé un écho très profond en moi, en tant que bahá'íe, qui a ramené l'ancien passé au présent.

La foi bahá'íe n'a que cent cinquante ans d'existence.  Ses adeptes sont fortement persécutés en Iran. Beaucoup ont été exécutés pendant la révolution iranienne de 1979, mais c'est l'exécution d'une jeune fille de 16 ans, Mona, dont la mort a ébranlé le monde entier qui a galvanisé la pression internationale sur l'Iran afin qu'il mette fin au massacre gratuit des bahá'ís. Le parallèle entre la situation actuelle des bahá'ís iraniens et l'histoire d'Agnès m'a profondément émue.  J'ai acheté le livre. 

Puis j'ai lu la critique du New York Times qui déplorait l'absence de photographies pour compléter la description passionnée de cette belle église. C'est alors que je me suis dit : "Je peux m'occuper de cela !"  Les droits ont été cédés peu de temps après. 

Le tournage de "La géométrie de l'amour" reste l'une des expériences professionnelles les plus mémorables que j'ai vécues.  C'était un privilège particulier de partager la liberté d'action dans cette église avec des chercheurs et une équipe aussi extraordinaires, et en si bonne compagnie. Et d'en tirer un film d'une telle beauté, c'était vraiment un immense cadeau. 
 
Merci, Paul, pour tous les cadeaux que tu nous as apportés. 

Avec un amour sans limite,
Bev

"La géométrie de l'amour", un projet transformateur

Je pense que je devrais d'abord parler de là où j'ai commencé : dans les documentaires.

La caméra est un outil puissant pour entrer en contact avec les gens, et nulle part ailleurs cela n'est plus vrai que dans les documentaires. La caméra est une carte d'accès aux coulisses du monde.

J'ai rencontré et appris de tant de personnes incroyables en tournant des documentaires. Il m'arrive parfois de regretter le lien intime avec la caméra, le sujet et le matériel que procure le tournage d'un documentaire.

Ce projet, "La géométrie de l'amour",, a été particulièrement transformateur. Il trouve la profondeur de la signification d'une église apparemment ordinaire - St Agnese à Rome. Le fait d'être à Rome et à Toronto avec Margaret Visser, qui possède une curiosité d'esprit extraordinaire, comme guide, a été une expérience qui a changé ma vie. J'ai beaucoup appris sur ce monde et, par la même occasion, sur moi-même. De plus, Margaret m'a emmenée voir les Caravaggios !

Je tiens à exprimer mon immense gratitude aux producteurs Bev Bliss et Colin Neale, au réalisateur Paul Carvalho et au preneur de son/interprète Frank Russo pour cette expérience unique. Tourné avec la Panasonic Varicam HDX900.

Je dois également remercier les nombreux autres documentaristes qui m'ont tant appris : David Schultz, Kathy Archibald, Michelle Wong, Susan Cardinal, Joel Stewart, David Christensen, Paul Jay et bien d'autres.


Craig Wrobleski, asc, csc
Directeur de la photographie

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